Pour tous ceux qui n'ont pas eu l'occasion de voir le "spot" de Vergnet, réalisé à l'occasion de son introduction en bourse
Bonne chance à Marc et à toute son équipe !
Pour tous ceux qui n'ont pas eu l'occasion de voir le "spot" de Vergnet, réalisé à l'occasion de son introduction en bourse
Bonne chance à Marc et à toute son équipe !
Rédigé à 21:47 dans Eolien, Video du jour | Lien permanent | Commentaires (2) | TrackBack (0)
La compagnie française GUAL Industrie, a mise au point un concept révolutionnaire d'éolienne à axe vertical appelé « StatoEolien ».
Les aubes du rotor ont été conçues de manière à générer le maximum de portance quelle que soit leur position par rapport au vent. Le système se compose d'un stator fixe qui canalise de manière optimale le vent sur un rotor mobile. L'énergie transportée par le vent, transformée ensuite en électricité, peut être soit consommée immédiatement et le surplus revendu à EDF, ou soit être stockée et utilisée ultérieurement.
Elle est capable de résister à des vents dépassant les 40 m/s. Il n’y a aucune nuisance sonore grâce à son Stator qui canalise le vent et qui entoure le Rotor, diminuant ainsi totalement les bruits. GUAL Industrie propose une gamme de 4 et 8 mètres de diamètre en fonction des besoins énergétiques.
Ses caractéristiques et son esthétisme, lui permettent l'ouverture d'un nouveau marché pour les Energies Nouvelles Renouvelables (ENR) s'adressant au plus grand nombre, tant dans les zones urbaines que rurales, et correspondant à l'habitat individuel, l'habitat collectif, les sites industriels, commerciaux et agricoles etc.
Par exemple, un StatoEolien de type GSE 8/3 (8 mètres de diamètre) installé sur une structure existante représente un coût inférieur à 45 000 € HT pour une puissance de 6 kW à 15 m/s (54 km/h) et de 36 kW à 40 m/s (140 km/h). Elle exploite les vents tourbillonnants sur les toits et les changements brutaux de direction, ce qui lui donne un rendement de 30 % supérieur à une éolienne à axe horizontal de même surface.
La vitesse minimale de démarrage de la production d’électricité du StatoEolien est de 7 km/h de vent, contre 15 km/h pour les éoliennes à hélices. De plus, le StatoEolien peut résister à des vents supérieurs à 220 km/h, contre 90 km/h pour une éolienne classique.
Rédigé à 21:33 dans Eolien | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Le Laboratoire National d'Aérospatial (NLR) a mené des recherches sur la baisse du niveau sonore des éoliennes dans le cadre du projet européen Sirocco (Silent Rotors by Acoustic Optimisation).
Selon Stefan Oerlemans, chercheur au NLR, ce sont les 25% à l'extrémité des pales et notamment la face arrière qui sont responsables de la gêne sonore des éoliennes. Celle-ci peut être réduite de deux façons : soit en modifiant la forme des pales à ce niveau, soit de façon plus simple, en plaçant des brosses sur la face arrière de l'extrémité des pales. Les poils des brosses facilitent le contact entre la pale et l'air permettant ainsi une réduction du niveau sonore de 3 à 6 décibels (dB). Ces brosses s'adaptent de plus facilement sur les éoliennes existantes.
Depuis 2002, le NLR coopère avec le Centre de Recherche sur l'Energie des Pays-Bas (ECN), l'Université de Stuttgart et les fabricants d'éoliennes General Electric et Gamesa. Le rapport final de ce programme de recherche est attendu pour le milieu de cette année.
Rédigé à 21:08 dans Eolien | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
<Lorsque la vitesse du vent est trop élevée, les centrales éoliennes doivent être mises hors service afin d'éviter tout dommage : les pales sont mises en drapeau et le rotor est maintenu à l'arrêt par un frein mécanique. En cas d'orage ou de coup de vent, des avertissements préalables permettent de diminuer les risques. Le centre d'application des fibres optiques polymères (POF-AC) de l'université Georg-Simon-Ohm de Nuremberg développe ainsi des systèmes de 'capteurs intelligents' afin d'assurer et d'augmenter la sécurité de tels systèmes.
Le professeur Hans Poisel, directeur du POF-AC, et son équipe, souhaitent développer un capteur capable de mesurer puis d'informer sur l'état des pales du rotor par rapport à la force du vent. Pour cela, une fibre optique plastique est intégrée à la pale, il devient alors possible de calculer de façon précise la modification de sa longueur par rapport à la charge.
M. Poisel explique que les capteurs en fibres optiques polymères (capteurs POF) qu'il développe, sont moins chers que les capteurs déjà existants. Ainsi les opérateurs de centrale électrique devraient les mettre en place rapidement. La fibre optique utilisée est un matériau optimal pour ce type d'application. En effet, les capteurs en fibre optique ne craignent pas la foudre car ils ne réagissent pas au champ électromagnétique. Les principaux avantages sont le faible encombrement, la rapidité de la transmission d'information et la sensibilité très élevée des capteurs.
Rédigé à 12:09 dans Eolien | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Le ministère de l'éducation et des sciences et la conseillère en innovation ont prévu la création en Andalousie de huit nouvelles installations scientifiques et technologique spécialisées(ICTS).
Parmi ces nouveaux projets figure le centre de recherche technologique en énergie éolienne qui devrait être construit à Tarifa, près de Cadiz.
Parmi les centres déjà labélisés ICTS figurent la plateforme solaire d'Almeria et la réserve scientifique de Donanana, par exemple. Le ministère cherche maintenant à favoriser les nouveaux secteurs à fort potentiel de développement comme celui des énergies renouvelables.
Ces centres se veulent uniques en leur genre, de très haute spécialisation et ont pour but de servir de plateformes de recherches et de tests pour de nouveaux procédés technologiques innovants avant une probable commercialisation.BE Espagne numéro 60 (16/02/2007) - Ambassade de France en Espagne / ADIT - http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/41340.htm
Rédigé à 21:34 dans Eolien, Politiques nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Producteur indépendant d'électricité éolienne en France métropolitaine et en Outre-mer, Aérowatt annonce l'admission de ses titres sur le Marché Libre d'Euronext Paris, par cotation directe.
Sous l'égide d'Arkeon Finance, Aérowatt a réalisé un placement privé auprès d'investisseurs institutionnels français et étrangers, sous forme d'une augmentation de capital ayant permis de lever de 17 millions €. A cette occasion, 591 510 actions nouvelles ont été créées au prix de 28,74 € par action. Parmi les actionnaires déjà présents dans le capital d'Aérowatt, Viveris, Demeter Partners, Crédit Agricole Private Equity et CIC ont souscrit à l'augmentation de capital.
Conformément à la stratégie de développement, cette levée de fonds va permettre de financer de nouvelles centrales éoliennes en France Métropolitaine et en Outre-mer et conforter ainsi la place de leader d'Aérowatt sur un marché à très forte croissance.
« Je tiens à remercier nos actionnaires historiques pour leur soutien et nos nouveaux actionnaires pour leur confiance. Grâce à eux, nous allons franchir une nouvelle étape, développer de nouveaux sites et construire les centrales qui sont en portefeuille. Cette reconnaissance du marché est une raison supplémentaire pour notre équipe d'être encore plus efficace et performante », déclare Jérôme Billerey, Président du Directoire d'Aérowatt.
Rédigé à 23:49 dans Eolien | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
La Française d’Eoliennes, acteur de référence dans la production d’électricité d’origine éolienne en France, annonce aujourd’hui l’obtention d’un financement de 70 millions d’euros auprès d’un syndicat de banques espagnoles, dirigé par Banco Sabadell et composé de Banco Santander et Caixa Catalunya.
Un financement remarquable
Autant par sa taille - qui en fait le financement éolien le plus important réalisé en France sur l’année en cours - que par les caractéristiques du syndicat bancaire auprès duquel il a été obtenu - il s’agit du premier financement réalisé par des banques espagnoles sur le marché français de l’éolien - ce financement est révélateur de la forte attractivité du marché éolien français et de la solidité des garanties présentées par la
Française d’Eoliennes.
Il permet la poursuite du développement du site éolien de la Voie Sacrée (Meuse), qui comprendra à terme 27 éoliennes de 90 mètres de diamètre, 125 mètres de hauteur (hors tout) et d’une puissance de 2 MW chacune.
Le constructeur espagnol d'éoliennes GAMESA a été choisi pour équiper ce site, qui sera également sa plus importante réalisation en France.
Alors que l’aménagement du parc est actuellement en cours de réalisation, l’installation des premiers aérogénérateurs est prévue très prochainement pour une mise en exploitation qui débutera au cours du premier trimestre 2007.
La Française d’Eoliennes, premier producteur d’électricité d’origine éolienne en France. Représentant une puissance de 54 MW, le site éolien de la Voie Sacrée sera le plus grand parc éolien français. Il permettra d’éviter l’émission dans l’atmosphère d’environ 60 000 tonnes de CO2 par an et génèrera assez d’électricité pour pourvoir à la consommation d’environ 58 000 foyers chaque année (hors
chauffage).
Avec un total de 103 MW en exploitation, la Française d’Eoliennes deviendra, avec la mise en service de ce site, le premier producteur d’électricité d’origine éolienne en France.
Des experts en project finance des énergies
Banco Sabadell, leader espagnol en financements structurés, avec une agence (full branche) à Paris, a une longue trajectoire dans le financement de Parcs Eoliens et dans d’autres projets d’énergies renouvelables.
Avec cette opération il démontre son intérêt dans le marché français autant pour le soutien de promoteurs espagnols que français.
A propos de la Française d’Eoliennes : Producteur indépendant d’énergie renouvelable et acteur de référence dans la production d’électricité d’origine éolienne en France, la Française d’Eoliennes se caractérise par une stratégie fondée sur l’intégration de tous les métiers de son activité : elle assure le financement, l’exploitation et la maintenance des parcs éoliens qu’elle a elle-même développés. Au 30 juin 2006, la Française d’Eoliennes disposait de 49 MW en exploitation et de 66 MW en construction.
Rédigé à 23:55 dans Eolien | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Il y a quelques semaines, on apprenait l'accord signé entre Gaz de France et Maïa Sonnier portant sur la création d'une société commune Maïa Eolis, en charge d'assurer le développement des deux groupes dans l'énergie éolienne.
Ci-jointe une vidéo de présentation de Maïa Sonnier dans le cadre de l'émission conjointe LCI / Oseo "Oser Entreprendre"
Pour mémoire, Maïa Sonnier est une entreprise lyonnaise dont l'activité historique est l'ingénierie et la construction d'ouvrage technique et qui se positionne tout particulièrement sur les ouvrages d'art. Elle a développé depuis 2001 une filière Energies Nouvelles qui détient et exploite à ce jour quatre parcs éoliens représentant une puissance installée globale de 48 MW. Par ailleurs, elle développe plusieurs projets en France à hauteur de 550 MW.
Maïa Eolis assurera le développement, la maîtrise d'œuvre de construction et l'exploitation de parcs éoliens. Elle se donne l'ambition de détenir, à l'horizon 2012, 1 000 MW de capacité installée en énergie éolienne en Europe, dont environ 50 % en France. Cette société commune, détenue à 49 % par Gaz de France et à 51 % par Maïa Sonnier, sera opérationnelle à la fin 2006, sous réserve d'obtention des autorisations nécessaires. En 2012, la production des parcs éoliens européens de Maïa Eolis devrait être de l'ordre de 2,3 TWh. Cette production, qui représente l'équivalent de la consommation d'électricité annuelle d'environ 300 000 foyers, devrait permettre d'éviter l'émission dans l'atmosphère de près de 2 millions de tonnes de CO2 par an.
Gaz de France ESS, filiale britannique à 100 % du groupe Gaz de France, vient de s'engager dans un contrat de dix ans avec un producteur d'énergie éolienne, Falck Renewables Ltd. L'accord porte sur l'achat de la totalité de la production du parc d'éoliennes d'Earlsburn, dont la mise en exploitation complète interviendra début 2007.
La construction du parc éolien d'Earlsburn débutera en mars 2006. Ce parc prévoit 15 turbines éoliennes, d'une puissance installée de 35 MW, qui produiront chaque année environ 100 à 120 GWh d'électricité verte. Le site qui accueille le parc de production se trouve sur les collines de Campsie Hills, près de la ville de Stirling en Ecosse.
La production d'énergie éolienne d'Earlsburn permettra de fournir de l'électricité verte à l'équivalent de 25 000 foyers. Une production semblable à base d'énergies fossiles aurait généré 100 000 tonnes par an d'émissions de CO2 supplémentaires.
Après l'accord portant sur l'achat de production du parc d'éoliennes d'Earlsburn en Ecosse, le partenariat avec Maïa Sonnier marque une nouvelle étape importante dans la mise en œuvre de la politique de développement durable de Gaz de France. Celle-ci vise à réduire les émissions de gaz à effets de serre et à développer l'usage des énergies renouvelables permettant de lutter contre le réchauffement climatique.
Rédigé à 17:15 dans Eolien, Video du jour | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Notre planète possède une énorme ressource énergétique renouvelable non exploitée : le vent à haute altitude, plus constant et plus puissant que celui en surface de la terre. Massimo Ippolito, expert turinois en avionique, envisage l'idée de concevoir un système capable de capturer cette ressource.
Le système Kite wind generator devient une réalité. Ce projet a impliqué l'Université Polytechnique de Turin, la société Sequoia Automation et la région Piémont pour la réalisation d'un premier prototype du système Kite wind. "Un projet de 500.000 euro, cofinancé, qui devrait fournir ses premiers résultats avant septembre - explique Mario Milanese, enseignant au Polytechnique et responsable du projet - la phase préliminaire est nécessaire pour ensuite passer à la réalisation du premier exemplaire de KiteGen".
Les objectifs finaux sont extrêmement ambitieux : "Prenons une centrale nucléaire d'un gigawatt. Elle possède une zone interdite aux vols d'un kilomètre de hauteur pour cinq de longueur. Et bien, nous prévoyons d'utiliser le système KiteGen d'une puissance d'au moins un gigawatt dans le même espace. L'équivalent exact de la centrale nucléaire mais utilisant une source renouvelable" explique Ippolito. "Nous avons effectué les simulations sur le calculateur utilisant des modèles aérodynamiques et des systèmes de contrôle développés par notre équipe de recherche. Par rapport aux actuelles éoliennes (qui exploite seulement le vent de basse altitude), l'occupation territoriale d'un KiteGen peut être 50 fois inférieurs, et le coût du kilowatt heure est vingt fois moins élevé que celui du pétrolé" ajoute Milanese.
Cependant, il s'agit d'un projet sophistiqué, impliquant la sensométrie, l'automatique, la simulation mathématique et les nouveaux matériaux. "Les premières données de faisabilité du KiteGen s'obtiennent par la récupération des données provenant de senseurs, qui sont désormais des dispositifs de cinquante gramme et transmettent en temps réel la position d'une aile dans l'espace à chaque instant. Les données arrivent à un ordinateur qui contrôle chaque aile du système KiteGen connectée à une plateforme rotative, capable de produire de l'électricité à partir d'un générateur électromagnétique à anneau".
En septembre, le prototype KiteGen de 20 kWh devrait subir des tests au niveau de sa sensorialité, de ses matériaux (cordes en polymères hyper résistants) et de la forme de ses ailes. Ce prototype pourrait s'étendre à une plateforme rotative de 1600 mètres de diamètre, capable de produire de l'électricité à partir de 15 tours par heure.
Si tout va bien, l'équipe turinoise, pourra démontrer, en 2006, la faisabilité d'une authentique révolution énergétique.
(Source : ADIT )
- un article dans WIRED
- Le blog du projet
- une publication par IEEE : Control of tethered airfoils for a new class of wind energy generator
Rédigé à 20:22 dans Eolien | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Le 25 octobre prochain, les responsables du projet POW'WOW (Prediction Of Waves, Wakes and Offshore Wind), financé au titre du Sixième programme-cadre de la Commission européenne (6e PC) organisent à Delft (Pays-Bas) un atelier destiné à étudier les meilleures pratiques dans l'utilisation des prévisions à court terme de l'énergie éolienne.
Le lendemain, le sixième atelier international sur l'intégration à grande échelle de l'énergie éolienne et des réseaux de transport pour les parcs éoliens offshore se tiendra jusqu'au 28 octobre.
L'atelier consacré aux meilleures pratiques comprendra un bref historique des prévisions éoliennes à court terme, un aperçu des installations mises en place dans le cadre du projet Anemos, des études de cas portant sur des d'analyses de prévisions à court terme et une session à l'attention des néophytes dans ce domaine.
Pour tout renseignement complémentaire, consulter:
http://powwow.risoe.dk/BestPracticeWorkshop.htm
http://www.offshoreworkshop.org/
Rédigé à 22:26 dans Eolien | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)